La Ville de Mercier dénonce les propos émis par les représentants syndicaux locaux des pompiers qui visent à mettre en doute la sécurité des citoyens et à attaquer la réputation de son directeur d’incendie, Éric Steingue. Elle exige donc une rétractation immédiate de tous les représentants qui ont contribué à la diffusion de ces calomnies.
En effet, plusieurs affirmations faites récemment par voie de communiqué ou d’entrevues médiatiques ternissent la réputation d’Éric Steingue et de la Ville de Mercier, dont les accusations de harcèlement et de mensonge. « Les accusations tenues par les représentants locaux des pompiers sont très graves et auront des conséquences à long terme sur la carrière de M. Steingue et sur la réputation de l’administration municipale. C’est pour cette raison que la Ville de Mercier exige des rétractations immédiates de leur part », a déclaré la mairesse de Mercier, Lise Michaud.
La Ville de Mercier n’a jamais toléré et ne tolérera jamais tout geste de harcèlement de quelque nature que ce soit, qu’il soit fait par un cadre, un syndiqué, un élu ou toute autre personne. C’est pourquoi, lorsque des plaintes sont reçues, une enquête a lieu sans délai. « De plus, afin d’assurer l’impartialité du processus, l’enquête est confiée à une firme externe », a expliqué le directeur général de la Ville de Mercier, René Chalifoux.
Dans cette perspective, la Ville de Mercier ne commentera donc pas les allégations au sujet de prétendues plaintes de harcèlement, en respect pour la confidentialité du processus. « Nous ne pouvons tolérer que l’existence de telles plaintes soit publicisée. Cependant, nous pouvons confirmer qu’aucun membre du syndicat des pompiers n’a déposé de plainte en harcèlement et qu’aucune plainte concernant du harcèlement physique ou sexuel n’a été déposée auprès de l’organisation », a précisé René Chalifoux.
Par ailleurs, la Ville de Mercier juge que les allégations accusant Éric Steingue de mentir aux citoyens, aux journalistes et même aux représentants du ministère de la Sécurité publique sont très graves et potentiellement préjudiciables. « En l’absence de preuves, la Ville de Mercier exige encore une fois une rétractation immédiate de la part des représentants locaux des pompiers », a ajouté Lise Michaud.
Selon le directeur général de la Ville de Mercier, il est possible que l’insatisfaction des pompiers soit liée aux mandats d’optimisation des processus que les élus et la direction générale ont confiés à leur directeur sécurité incendie, Éric Steingue. Voici d’ailleurs 3 exemples d’abus qui ont été corrigés par le biais de directives administratives.
Par ailleurs, il est important de rappeler que depuis 2003, des pompiers sont présents en tout temps en caserne, soit 24 heures par jour, 7 jours par semaine. La Ville de Mercier est également la seule ville de moins de 15 000 habitants de la communauté métropolitaine de Montréal qui peut compter sur la présence de 4 pompiers le jour et de 2 pompiers la nuit. « La sécurité des citoyens est une priorité pour nous et en aucun moment leur sécurité n’a été ou sera mise en péril. C’est pourquoi la Ville de Mercier et son directeur sécurité incendie ont été et sont toujours ouverts à discuter de façon sereine et objective des préoccupations des pompiers », a conclu la mairesse Lise Michaud.